14 mars 2013
« Vision préliminaire globale »
Projet Boréal...
Aux origines du mot « boréal » , on retrouve Borée, fils
d’un Titan et de l’Aurore.
C’est le dieu grec du vent du nord.
C’est le dieu grec du vent du nord.
Dans la définition de « boréal» tout tourne autour du Nord,
immanquablement!
( ...Du Nord, de la moitié nord du globe terrestre...)
( ...Du Nord, de la moitié nord du globe terrestre...)
Quand je pense au Nord, il y a trois pôles qui se détachent
dans mon esprit.
Il y a premièrement l’idée du Nord. Le Nord magnifié,
mythique, immaculé.
Vient ensuite le Nord bien réel dans lequel on vit. Les coupes à blanc des forêts boréales, les lacs aux prises avec les pluies acides sans oublier, le réchauffement de la planète qui fait fondre le Pôle Nord. Finalement, le troisième pôle, la projection vers le futur... Un avenir qui perd le Nord!
Vient ensuite le Nord bien réel dans lequel on vit. Les coupes à blanc des forêts boréales, les lacs aux prises avec les pluies acides sans oublier, le réchauffement de la planète qui fait fondre le Pôle Nord. Finalement, le troisième pôle, la projection vers le futur... Un avenir qui perd le Nord!
Je voudrais donc réfléchir sur le sujet, explorer
visuellement ces trois pôles et interagir avec les propositions d’un(e)
étudiant(e) qui irait en ce sens. La forme de tout cela pourrait être une sorte
de cadavre exquis et/ou de « patchwork » plus éclaté dans l’espace... Où mes
images photographiques répondraient, feraient écho ou prolongeraient les
propositions (dessins, photos, etc..) de l’étudiant(e). Interaction dans les
deux sens à développer.
Première rencontre pour établir les références et les pistes
d’exploration et de recherche à privilégier. ( Documents, mise en scène,
etc...) Échéancier des différentes étapes de création.
Ateliers et rencontres pour faire la sélection, les choix,
décider de la progression et de la forme finale du projet en tenant compte des
contraintes d’espace et de temps.
J’attends avec curiosité les propositions qui seront faites.
Guy Mercier
Semaine du 18 avril, Montréal
Le compagnonnage à trois. Voilà notre expérience dans ce projet... Trois idées pour en faire une qui tienne la route et qui ne fonde pas comme neige au soleil, boréal oblige.
9 mai
Le compagnonnage à trois. Voilà notre expérience dans ce projet... Trois idées pour en faire une qui tienne la route et qui ne fonde pas comme neige au soleil, boréal oblige.
Notre moment fort en équipe aura été lors de notre prise de vue au centre-ville à Montréal.
Chercher
à capter tous les édifices en panoramiques qui pourraient nous servir
et aussi capter un phénomène peu connu, les aurores «Montréal» qu'on
s'est amusé à simuler au Palais des Congrès.
Chacun(e) s'est concentré sur une partie de la
réalisation, mais en général, il y a des photos des trois qui se
retrouvent et s'entremêlent dans les trois pôles du projet.
Forêt fantomatique simulée par Mikaël... Je me suis concentré sur la
partie centrale où une ville et une lisière de forêt incertaine se
dressent au loin, énigmatiques au bout des glaces alors qu'une aurore
surplombe le tout de sa présence, sidérante! En espérant que le montage
de ce transparent ne se transforme pas en horreur boréale.
Noëmie, elle, s'est concentrée sur le chaos urbain. Les édifices
prenant la place des arbres et qui semblent pousser de façon incontrôlée
et incontrôlable. Voilà où nous en somme dans notre compagnonnage. Il
reste à peaufiner et mettre le tout en forme.
Compagnonnage, 16 mai 2013
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